La préparation mentale au service de son projet professionnel et de sa vie pro'

« L’art de mettre toutes les chances de son côté pour viser la réussite et atteindre les objectifs que l’on s’est fixés ! »

Que faites vous pour vous préparer et être prêt chaque jour pour faire face aux nombreux défis personnels et aux challenges professionnels auxquels vous devez répondre ? 

Prendre soin de soi, de son corps, préserver et entretenir sa santé mentale, se maintenir en forme, se préparer, conserver une bonne hygiène de vie…, ce sont autant d’expressions qui vous parlent certainement. Mais concrètement, comment faites-vous ? Vous décrivez-vous comme une personne rigoureuse, assidue, motivée ou à l’inverse êtes-vous plutôt laxiste, inconstant, du genre à vous arrêter en cours de route ou à procrastiner ?   

Qu’on se le dise, si la préparation physique est déterminante, la préparation mentale l’est tout autant dans la perspective de rester motivé et d’être au meilleur de sa forme physique et psychologique. Elle constitue l’une des clés qui peut largement vous aider à atteindre la réussite et à performer, quel que soit le domaine (sportif, personnel, professionnel,…). Autrement dit, la préparation mentale ou plus couramment appelée préparation psychologique, c’est « l’art de mettre toutes les chances de son côté pour viser la réussite et  atteindre les objectifs que l’on s’est fixés.

Mais qu’en est-il exactement ? A quoi sert la préparation mentale ? Se préparer, oui, mais dans quel(s) but(s)  ? Et comment faire pour travailler son mental et rester motivé ? Existe-t-il plusieurs façons de se préparer mentalement ? 

Dans le monde professionnel, la pression et les sollicitations sont multiples et permanentes. Tout comme dans l’univers sportif, c’est le mental, qui en grande partie, nous aide à faire la différence et à se dépasser. Il nous permet d’être plus fort, de s’équilibrer, de s’auto-réguler et de ressentir plus de sérénité à l’approche de l’échéance, dans la perspective de réussir ce que l’on souhaite entreprendre. Cela suppose de bien se connaître. C’est indispensable. Mais pas suffisant ! Il est également important de comprendre comment fonctionne ce processus global de préparation mentale, afin de de prendre de la hauteur, de bien s’outiller au quotidien et d’installer des rituels personnels pour à la fois mieux gérer sa vie personnelle et mener ses projets professionnels vers la réussite. 

A travers cet article, je vous présente (de manière non-exhaustive et  concrète) quelques points fondamentaux sur la notion de « préparation mentale ». Je vous partage également 5 clés de ma boite à outils par un vaste panel de solutions. 

En complément, je vous propose aussi quelques astuces, des témoignages et des expériences, afin de vous aider à mieux vous préparer mentalement dans la perspective d’atteindre les objectifs personnels et/ou professionnels que vous vous êtes fixés. 

Le but ? Vous aider à être plus solide, plus ancré, plus armé, plus équilibré, plus agile émotionnellement et surtout plus serein, pour mieux répondre à vos défis quotidiens ou encore afin de mieux faire face aux nombreuses sollicitations de votre environnement professionnel. Bien évidemment, charge à vous de les expérimenter, de les appréhender, de vous les approprier et si nécessaire de les réajuster car soulignons-le, la manière de se préparer est belle et bien propre à chacun.

La préparation mentale, une méthode "miracle" pour valider ses objectifs à coup sûr ?

Préparation = réussite à 100 % ?? Malheureusement …non... ! Mais c'est un levier largement aidant et très fortement recommandé.

 

D’emblée, cassons une idée reçue : le 100% n’existe pas. En matière de performance et quel que soit le domaine, il n’y a pas de méthode miracle pour réussir ! Même en se préparant à fond et longtemps à l’avance, on est jamais certain de performer à coup sûr, même avec le meilleur entraînement du monde ! D’ailleurs, le seul moment où l’on est assuré de réussir, c’est le jour « J » après la prestation ou lors de l’annonce des résultats !

Et pour cause, il existe toujours une part d’incertitude liée à des éléments que l’on ne contrôle pas et dont on reste dépendant. En voici divers exemples, selon le contexte (sportif, professionnel, personnel,…) :

  • Les autres : la décision du jury, l’interprétation de l’arbitre, le profil ou le talent des autres candidats ou concurrents, l’implication de vos collaborateurs lorsqu’il s’agit d’un projet collectif, etc.
  • Le contenu : les questions qui peuvent vous être posées lors d’un audit ou d’un examen, un sujet qui n’était pas attendu, etc.
  • L’environnement : l’état du terrain, les conditions matérielles, le lieu, les locaux, la météo, la température, qui sont souvent méconnus ou aléatoires et peuvent impacter notre prestation, etc.
  • Les imprévus : une baisse de forme (fatigue, maladie,…), un évènement imprévisible le jour « J » (un accident, des travaux, une panne, un retard lié à une tierce personne), etc.

 

Finalement sur quoi avez-vous du contrôle, un pouvoir d’action, d’évolution et de transformation ?

Uniquement VOUS !! C’est donc là qu’il faut agir en priorité ! 

 


La préparation mentale, une voie privilégiée pour favoriser la réussite personnelle et professionnelle

 En matière de réussite et de performance, le hasard et l’improvisation sont rarement de bons alliés ! Un oral, un entretien, une compétition, un examen, un projet, une réunion, un évènement important quel qu’il soit, ça ne s’improvise pas, ça se prépare ! ».

 

Les bénéfices de la préparation mentale : 

  • Réduire ou d’anticiper cette part « non contrôlée » d’incertitude. Anticiper les aléas. 
  • Développer son capital « Confiance, motivation et estime de soi »
  • Améliorer ses capacités émotionnelles, d’adaptabilité et d’anticipation.
  • Augmenter ses chances de produire une performance dans un domaine bien précis (entretien, réunion, prise de parole, conférence…).
  • Ne pas avoir de regret mais à l’inverse le sentiment « d’avoir fait le job » et « d’avoir donné son maximum », quelque soit le résultat.
  • Ne pas subir, ni reproduire sans cesse les mêmes erreurs et reprendre ou garder la maîtrise. 
  • Mieux gérer le stress, les crises de panique, la charge mentale, la pression EN TOUTE SITUATION.

 

Ce que j’en dis : 

« Mettre beaucoup de temps et d’énergie dans la préparation mentale n’est donc pas inutile, bien au contraire. C’est un moyen efficace d’augmenter ses chances de réussite le jour « J » ! 

Dans le domaine du sport, tous les plus grands champions, mais aussi les amateurs, les commentateurs et les entraineurs reconnaissant d’ailleurs l’importance du mental dans la performance.

 

Quelques chiffres et témoignages :

« 85 % des sportifs ayant développé une stratégie mentale ont enregistré des bénéfices en
terme de performances » (Weinberg/Williams, 2001).

« Le mental est considéré par bien des acteurs du monde sportif comme le facteur
déterminant, l’élément qui fait atteindre la plus haute marche du podium » (Marcel Desailly).

« Le stress crée des tensions musculaires et est très énergivore, il y a donc là un enjeu sur la santé et le bien-être du sportif », souligne Raphaël Homat, préparateur mental. Le rôle de la préparation mentale, c’est apprendre à gérer ses émotions, son stress, mais aussi à améliorer sa concentration, sa confiance en soi et sa relaxation afin d’être capable de répondre sereinement à n’importe quelle situation (positive ou négative) qui se présentera  » (journal L’équipe).

En quoi consiste la préparation mentale ?

 

Jean Fournier, maitre de conférence et chercheur en psychologie du sport (INSEP – 1998) définissait la préparation mentale comme « le fait de développer des habiletés mentales, cognitives (reliées au cerveau) dont le but principal est d’optimiser la performance personnelle tout en promouvant le plaisir de la pratique et en favorisant l’atteinte de l’autonomie ».

En d’autres termes, se préparer sur le plan mental permet d’accéder à son plein potentiel, à sa puissance intérieure, quel que soit les circonstances et la situation. Cela revient à être capable de « faire son match », en visant l’excellence à chaque fois ou avec l’idée de s’en rapprocher. Car il faut l’admettre aussi et l’accepter, il y a des jours « AVEC » et des jours « SANS ». C’est un fait ! Rappelons-nous que nous ne maitrisons pas tout.

 Ce que j’en dis : 

« La préparation mentale invite à réduire les zones d’incertitudes et nous emmène dans un voyage personnel à travers la connaissance de soi (atouts, forces, limites…), la connaissance de son environnement, la réalisation de soi et le dépassement de soi ».

Une expérience concrète issue du basket et montrant les effets positifs de la préparation mentale :

A titre d’illustration, je vous présente le résultat de l’expérimentation suivante. Un groupe de 60 basketteurs ayant des statistiques similaires au lancer franc a été constitué. 20 d’entre eux devaient s’entraîner 20 minutes supplémentaires au lancer franc, 20 ne faisaient rien de spécifique, les 20 derniers travaillaient mentalement le geste. Les résultats ? Ceux qui n’ont rien fait, n’ont pas progressé ; ceux ayant travaillé techniquement ont progressé de 25% ; ceux ayant travaillé mentalement (principalement par la visualisation, sur la confiance en soi et le renforcement) ont progressé de 22%…. Plutôt bluffant non ?

 

Et dans le milieu professionnel ? 

Soulignons également le fait que la préparation mentale n’est pas uniquement réservée à la seule performance sportive, ni au monde sportif et à l’élite. Elle est utile à tous, dans de nombreux domaines et peut être bénéfique aussi bien sur le plan privé que professionnel. Par exemple :

  • Pour un sportif amateur désireux de se challenger afin d’être plus régulier dans sa pratique ou d’améliorer ses résultats dans une activité sportive donnée.
  • Pour un étudiant qui souhaite mettre toutes les chances de son côté pour mieux gérer son stress et ses émotions à l’approche de ses examens ou de sa soutenance orale de fin d’études.
  • Pour un futur entrepreneur ayant pour projet de créer, de développer son entreprise ou de maîtriser son activité et la pression quotidienne. 
  • Pour un manager ou un chef d’équipe qui souhaite améliorer son leadership ou être plus à l’aise lors de ses prises de parole en réunion.
  • Pour toute personne souhaitant mieux gérer ses émotions, réduire son niveau de stress ou renforcer sa motivation et ses capacités en toute situation et notamment à l’approche d’un évènement particulier.
  • Etc.

 

Ce que j’en dis : 

« La préparation mentale, c’est surtout « l’opportunité fictive » de se placer ou de se projeter dans les conditions réelles d’une situation où l’objectif désiré est en voie d’être atteint, en arrivant le plus serein possible, comme si l’on y était, afin de minimiser les doutes, d’éviter l’approximation, d’augmenter son capital « confiance » et d’attirer la réussite. »

 

🔐 5 clés pour bien se préparer sur le plan mental

1 - Apprendre à mieux se connaître, une priorité :

Avant de viser quoi que ce soit, il est important d’avoir une bonne connaissance de soi, de ses aspirations profondes, de ses besoins, de ses capacités, de ses forces, de ses talents mais aussi de ses contraintes et de ses limites. Pour ce faire, il peut être judicieux de solliciter l’avis de ses proches, de ses collaborateurs ou encore de ses supérieurs hiérarchiques afin de bénéficier d’une première perception que les autres ont de soi. Mener un travail d’introspection ou encore s’engager dans un parcours de « coaching » permettra également d’aller encore plus loin dans la connaissance de soi et la compréhension de ses modes de fonctionnement. Exploration, introspection, feedbacks, échanges avec un tiers, moments en solo,… sont de bons moyens complémentaires de faire plus ample connaissance avec soi-même. 

Petite astuce : relisez vos comptes rendus d’entretiens d’évaluations annuelles, replongez-vous dans vos rapports de stages, ou demandez explicitement à l’un de vos amis ou à un collègue proche quelles qualités ou compétences il/elle reconnait en vous. Vous aurez un max. d’informations sur vous ! 

2) Déterminer un ou des objectif(s) challengeant(s), une étape incontournable :

Pour une réelle efficacité, l’objectif doit être formulé positivement et clairement. Notre cerveau ne retient pas les formulations négatives. Il doit être également suffisamment challengeant, atteignable, à sa portée (avec des gains bien identifiés pour soi) et être défini dans le temps. Il s’agit d’une des conditions du succès. S’il n’y a pas d’objectif « SMART », s’il n’est pas bien adapté, s’il est trop ambitieux (ou pas suffisamment), s’il ne vient pas de soi, s’il n’est pas planifié dans le temps, il est fort probable que la motivation et l’engagement diminuent avec le temps qui passe et que vous serez moins impliqué.

Petite astuce : affichez votre(vos) objectif(s) dans un endroit visible : votre salle de bain,  sur votre table de chevet dans votre chambre, sur votre frigo,… de manière à le voir tous les jours. 

 Ce que j’en dis : 

« Exprimer son objectif par écrit, l’afficher et le lire chaque jour, c’est l’ancrer au plus profond de soi. C’est un acte fort  d’engagement avec soi-même. Cela revient à signer un contrat avec soi-même ».

Par exemple :

« Je souhaite…..(trouver ma voie professionnelle / m’inscrire dans un parcours de formation  épanouissant / réussir mon entretien de recrutement / parvenir à susciter l’adhésion de mes collaborateurs lors de ma prochaine réunion…) dans un délai de ….…., afin de/d’…. (acquérir des compétences / confirmer mon projet professionnel / retrouver du plaisir / trouver un équilibre de vie / ressentir de la sérénité et de la joie / renforcer mon leadership) …. »

3) Viser la motivation intrinsèque plutôt que la motivation extrinsèque :

Si les sources de motivation ne sont pas clairement identifiées, difficile de trouver des raisons ou des motifs à agir régulièrement et jusqu’au bout. C’est donc ce registre de motivation qu’il faudra privilégier dans la construction de son projet professionnel, dans la recherche de sa voie ou dans la perspective d’atteindre un objectif personnel et professionnel défini. 

La motivation intrinsèque est la source de motivation reliée à toutes les activités ou les actions que l’on effectue pour soi-même, pour pour le plaisir, pour la satisfaction que cela nous procure ou pour le sens que revêt cette activité, sans pression et sans influence ou contrainte extérieure (pression des parents pour obtenir des bons résultats scolaires, pression sociale pour occuper un poste prestigieux, pression managériale pour décrocher une augmentation salariale ou une promotion…).

Exemples de sources de motivation intrinsèque :
-Je lis et je fais régulièrement du sport, simplement parce que cela me procure du plaisir et du bien-être ; cela me nourrit socialement et me fait du bien physiquement et mentalement. 
-Je travaille dans un parc animalier, car je suis passionné par les animaux, l’environnement naturel, j’aime également l’activité de soin que j’apporte aux animaux. Cela me remplit d’énergie et de joie.

Petite astuce pour trouver sa motivation intrinsèque (qui ne dépend que de soi-même) : 

Faire des bilans introspectifs de manière régulière : prendre un temps personnel pour se questionner sur les bénéfices, les intérêts, les bienfaits d’une activité, d’un projet ou d’une action chaque mois, chaque trimestre…

 

4) Définir un plan d’action concret, une stratégie individuelle à suivre : 

 

RÉDIGER SOI-MEME SA STRATEGIE ET SUIVRE PERSONNELLEMENT LA REALISATION (PROGRESSIVE) DE SON PLAN D’ACTION, c’est INDISPENSABLE !!! CONSTATER SA PROGRESSION OU SON AVANCEE l’est également, pour susciter la motivation et maintenir un haut niveau d’engagement. tout au long de sa préparation. 

Cette étape est tout autant essentielle. Il y à fort à parier que votre niveau d’implication et votre assiduité ou vos efforts diminueront avec le temps, à moyen ou à long terme si vous ne posez pas votre plan sur papier. Cela revient à écrire et suivre sa feuille de route personnelle et à fixer des objectifs opérationnels concrets, directement visibles et mesurables (reliés à des petites actions). 

 

Pour cela, plusieurs astuces :

  • Rédiger son plan d’action en fixant « son échéancier » sur une période de 3 à 6 mois voire 12 mois (à moyen terme) selon l’objectif défini.
  • Utiliser une méthode ou un outil ludique pour construire et suivre son projet/son objectif : le mind mapping, un brainstorming structuré, un plan synthétique, le macro-planning,…
  • Privilégier la méthode des 4P : les « Plus Petits Pas Possibles » pour ancrer les réussites et rester dans l’action en permanence. Mieux vaut courir 3 x 20 minutes chaque semaine plutôt qu’une seule fois 1h00 en 15 jours ou 3 semaines et risquer de se dégoûter de l’effort.
  • S’entrainer régulièrement, encore et encore en se rapprochant progressivement des conditions réelles du projet ou de la prestation à produire le jour « J ». 
  • S’imprégner, se former, se cultiver… par tous les moyens, à toutes les sauces et instaurer des rituels ou des petites habitudes chaque jour ou chaque semaine :  suivre un stage de perfectionnement, lire des livres ou des articles reliés à ses objectifs, regarder des « tutos » ou des vidéos sur le thème en question, échanger régulièrement avec d’autres personnes qui suivent un objectif similaire, s’abonner à une newsletter en lien avec le sujet, intégrer un réseau ou un groupe social « qui parle le même langage » pour se donner réciproquement de l’énergie et partager des idées, etc.
  • Mettre en place des actions « plaisir ou détente », autrement dit « des rituels qui font du bien », chaque semaine. Il est indispensable ponctuellement et régulièrement de faire autre chose et de lâcher prise avec son objectif afin de récupérer, de se ressourcer et de prendre soin de soi. Comment ? En instaurant et en fixant à l’avance dans son agenda de la semaine des actions « plaisir » ou « régénératrices » comme la marche, le sport, la méditation, le yoga, la lecture, l’écoute d’un playlist, l’écriture, la couture, boire un verre entre amis, etc.
  • Pratiquer la visualisation : utilisée par 95 % des athlètes olympiques, la visualisation est une technique par laquelle on sollicite les ressources de l’esprit, de l’imagination et de l’intuition. Elle permet, par exemple, de s’imaginer réaliser un geste précis, pitcher son projet ou sa présentation orale, reproduire une course ou une action, avec une stratégie bien précise, en se rapprochant des conditions réelles du jour « J ». Sachez également que la visualisation est également très utilisée par les sportifs blessés pour accélérer le processus de guérison et de reprise. Et le plus incroyable dans tout ça, c’est que ça marche ! En d’autres termes, visualiser, c’est créer et construire mentalement les images et les conditions d’une future action à réaliser avant le jour « J » afin de viser la réussite.

5) Faire appel à une aide extérieure :

Notons également, pour terminer cet article, qu’il est possible de s’auto-réguler et de se préparer mentalement seul. Mais sachez que cela demande un véritable apprentissage, de fortes aptitudes et des qualités diverses : autonomie, rigueur, discipline, motivation, organisation, adaptation ou encore d’être autodidacte.

C’est pourquoi dans un premier temps, il est conseillé de faire appel à une tierce personne qui vous stimulera.  Dans l’idéal, le recours à un COACH PROFESSIONNEL CERTIFIE est fortement recommandé en raison de sa neutralité, de ses compétences spécifiques et de son professionnalisme, entre autre. Il vous facilitera également la tâche à travers son accompagnement collaboratif et bienveillant, par la mise en place (entre autre) d’ateliers divers et par l’apport de feedback notamment. 

Enfin, il convient de le souligner, il ne s’agit en aucun cas de devenir dépendant de son coach ou d’une tierce personne à travers le  parcours de coaching proposé.  D’ailleurs, c’est l’un des intérêts de cet accompagnement : il est efficace, se déroule sur quelques semaines ou plusieurs mois seulement et il possède une fin qui est annoncée et clairement planifiée dès le début du processus, contrairement à une thérapie. 

 

La finalité étant de faire réfléchir l’individu sur sa situation et de le rendre acteur afin de lui permettre de trouver ses propres solutions et son mode opératoire personnel PAR LUI-MÊME, en visant le renforcement de la confiance en soi et de l’autonomie réflexive et décisionnelle. 

 

Pour aller plus loin : 
Je vous propose dans mon prochain article de nouvelles pistes d’actions pour améliorer votre préparation mentale et globale afin d’atteindre vos objectifs et de mener à bien vos projets pro’ et perso’ avec plus de sérénité et de force. 
En attendant n’hésitez pas à interagir, à expérimenter et à me contacter pour échanger sur ce sujet au combien passionnant et vaste ! 
Merci pour votre intérêt, votre partage et à bientôt ! 
Sébastien Caudrillier
Focus SC 
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